Petites meringues
Petites meringues croustillantes, en version mini bouchées. Idéales en toute occasion !
Je fais ces petites meringues depuis DES années. Encore meilleures en version mini (à “dévorer” en une bouchée 😋) !
Elles sont légères, bien croquantes, tout en restant moelleuses à l’intérieur, et très faciles à “relooker” pour en déguster toute l’année à chaque fête et/ou occasion (de nouvelles déclinaisons arrivent très vite 😉)
Au tout début, j’utilisais du sucre vanillé, mais je vous conseille vraiment d’utiliser de la vanille liquide (en extrait naturel bien sûr, pas celle du supermarché qui est juste un “arôme” !) c’est bien meilleur au goût ! Il faut juste bien ajouter la vanille dès le début : ça donne une couleur caramel à la meringue, mais en battant suffisamment longtemps, elle se fondra à la masse qui redeviendra bien blanche 😊
L’avantage : en petites bouchées, elles vont avec tout (petite envie sucrée, avec le café, pour accompagner une tarte, une crème, une mousse au chocolat…) et en plus, ça se conserve longtemps !! (2 à 3 semaines dans une boîte hermétique, surtout pas au frigo sinon ça prend l’humidité !)
Avant de commencer, versez 65 g de sucre, 50 g de sucre glace et 10 g de fécule dans un bol. Réservez près de vous.
Posez également le flacon de vanille liquide à portée de main.
Montez 2 blancs en neige très ferme au batteur à vitesse maximum (s’ils sont un peu mous, l’appareil à meringue le sera aussi et comme elles cuisent longtemps à basse température, elles auront tendance à s’affaisser pendant la cuisson et avoir un look un peu “raplapla” à l’arrivée). Petit test : les batteurs doivent tenir debout tout seuls lorsqu’on les détache de la base.
Une fois que les blancs sont bien fermes, et tout en continuant à battre (en baissant à vitesse moyenne), versez un peu de vanille liquide, puis, petit à petit, en filet (important, sinon tout retombe !) ajoutez le mélange sucres-fécule.
Dès que tout est bien incorporé et que la meringue est bien brillante et à nouveau blanche, vous pouvez retirer le batteur.
Voilà à quoi ça doit ressembler :
- Petite note perso : débarrassez bien votre plan de travail autour de là où vous aller préparer la meringue. Avec la vitesse du batteur qui tourne, impossible d’empêcher le sucre et le sucre glace de “s’envoler” un peu pendant la préparation -
Avec une grande cuillère, transvasez l’appareil à meringue dans une poche à douille (petite douille cannelée).
Petite astuce pour remplir facilement la poche : je la pose dans mon grand verre doseur, c’est parfait !
- Note perso : je n’utilise que des douilles en métal, et des poches en tissu. Les nouveaux matériaux qui sont très “plastifiés” sont moins agréables à utiliser je trouve. Ils tiennent moins bien en main, ça a tendance à glisser. -
Préparez une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé, et commencer à dresser des petites rosettes de meringue.
J’en fais également toujours quelques-unes plus petites, façon “gouttes” pour décorer ou pour ceux qui souhaitent en goûter juste “une toute petite” 😉
Continuez jusqu’à vider complètement la poche…
Enfournez à 60°C pendant 8 heures.
Pour vérifier si les meringues sont bien cuites, soulevez-en une : elle doit se détacher toute seule du papier et le dessous doit être bien cuit… Si le centre est encore un peu mou, il faut laisser cuire plus longtemps…
- Note perso : chez les fournisseurs de pâtisserie, on trouve également des flacons d’1L de blancs d’œufs frais. C’est très pratique ! Une fois la bouteille ouverte, vous n’avez que quelques jours pour les utiliser, sinon vous pouvez les répartir dans des bocaux en verre et les congeler pour plus tard (repère : un blanc d’œuf pèse environ 30g).
Attention cependant, n’utilisez que des œufs frais pour faire ces meringues !! J’ai déjà testé de décongeler des blancs, mais ils ne montent pas en neige aussi ferme qu’avec des frais et les meringues retombent pendant la cuisson 😣 -
Laissez refroidir complètement et conservez-les jusqu’à 2 à 3 semaines dans une boîte hermétique, dans un environnement bien sec (surtout pas au frigo, elles prendraient l’humidité et deviendraient toutes molles).